Un film de Benoît Labourdette et Nathalie Marchal (6’33s, muet, 2021).
Dessiner avec la lumière, le corps, la main, l’encre de la relation. Donner existence.
Un film de Benoît Labourdette (4’47s, 2016).
Faire face à son enfant, réel ou imaginaire.
Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (6’20s, 2000).
Ombres vivantes.
Un film de Benoît Labourdette (8’44s, 2021).
Méditation sur la construction de sa propre mémoire, son « palais de mémoire ».
Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (4’30s, 2000).
A partir d’une boucle sur un son d’ambiance d’une vidéo amateur, construction d’un objet numérique abstrait, que la bande son anthropomorphise.
Un film de Benoît Labourdette (3’27s, 2018).
Se rassembler autour d’un livre, se rassembler soi-même.
Un film de Benoît Labourdette (3’15s, 2023).
Ces figures vivantes, proches ou lointaines, multiples, ces instants de vie intense, s’en souvient-on ? Comme en un tableau de Bruegel l’Ancien, il n’y a pas d’ensemble, mais une multitude de petits détails qui se juxtaposent.
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).