Film collectif (2’28s, 2017).
Des objets, dont on imagine qu’ils ont été incarcérés, partagent leurs vécus.
Un film de Benoît Labourdette (2’18s, 2020).
Pourquoi faudrait-il être emprisonné pour pouvoir aimer ?
Film collectif (4’33s, 2015).
Stairway to freedom.
Un film de Benoît Labourdette (3’36s, 2019).
Un rêve d’enfant inaccessible, dans une maison perdue au fond des bois.
Un film de Benoît Labourdette (3’52s, 2017).
La mémoire d’un drame, et une confession inattendue.
Musique instrumentale, 2017, 3’45s. Improvisation de Benoît Labourdette (synthétiseurs).
Vivre dans un univers fait de bruit blanc, qui tout à coup se met à battre, comme le cœur.Improvisation réalisée sous seing privé, le 5 octobre 2017 (Benoît Labourdette production).
Un film de Benoît Labourdette (2’42s, 2018).
Le travail, potentiel facteur d’émancipation qui peut porter en lui son propre retournement.
Un film de Benoît Labourdette et Lucie Vedel (3’18s, muet, 2017).
Dans la faille du racisme, même les mots les plus simples ne réussissent plus à se former, le sens de tout se perd.
Une exposition « Témoins de la déportation » a été proposée à la Mairie du 3e arrondissement de Paris au mois d’avril 2014.Le 28 avril 2014, dans le cadre de la soirée hommage à Charlotte Delbo, projection du film « Les spectres », de Benoît (…)
Un film de Benoît Labourdette (2007, 1h04’).
SynopsisUn homme seul et anonyme parmi les anonymes évoque sa difficulté à vivre en plein jour à l’ombre des heures les plus funestes de l’Histoire contemporaine. Le souvenir ombrageux de la Shoah obscurcit le quotidien où se cherche, (…)
Les lettres de ces mots se doivent d’être les unes dans les autres, car on le leur a demandé. Elles y cherchent leur liberté.
Un film de Benoît Labourdette (1’40s, 2019).
Au delà des barrières, des barbelés, des prisons, le cœur vivant est toujours battant.
Un film de Benoît Labourdette (12’46s, 2013).
Comment partager les cris silencieux, derrière les familles aux histoires lisses ?
Un film de Benoît Labourdette (2’35s, 2019).
Si on creuse chacun un tout petit peu dans ses origines, sa construction, son vécu des lieux, qu’est-ce qu’on peut y comprendre de soi ?
Album musical
Deuxième album, en 2001, constitué de 15 morceaux pour une ambiance nocturne, un peu claustrophobe, à consonnances vocales et matérielles. Composition à partir de sons réels, de résonances chuchotantes. Univers sonore granulaire par moments. (…)
Un film de Benoît Labourdette (2’24s, 2009).
Notre réel, composé de la confrontation de la beauté et du drame. Mais le réel des autres, aussi, qui vivent des drames et sont exposés, au regard de tous, au moment où ils sont le plus fragile.
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).