Série de 40 photographies sur le quai d’une station de métro.
Dès la station de métro, le musée entraîne dans son univers historique fascinant, grisant pour celle ou celui qui s’y abandonne.
Un film collectif (1’51s, 2019).
Poster les images en 360°, d’une manière littérale.
Un film de Benoît Labourdette (1’38s, muet, 2017, pseudonyme : Malcolm).
Le visage du racisme, ce sont les mots.
Un film de Benoît Labourdette (39s, muet, 2017, pseudonyme : Jobo 12).
Survol d’une ville imaginaire faite de caractères d’imprimerie.
Série de 70 photographies encrées.
Des mots qui sont la vie. Décrivent. Sont. Soi. Des mots qui finissent par être plantés comme des graines. L’encre qui file et coule, et le regard qui n’ose. Des mots qui glissent. Jaillissent. Illisibles comme la vie. Ils sont bien plus (…)
L’intersection des corps de certaines lettres est la nature de cette écriture.
Un film de Benoît Labourdette (2’37s, 2021).
Oser exister, c’est à dire se déclarer à soi-même, même très discrètement, cela change tout.
Une calligraphie, à ma manière, loin des règles et du bien-faire. Une calligraphie des mots, et non pas seulement des lettres. Une calligraphie comme un jeu auquel je vous invite.
Tracer les lettres des mots, chorégraphier la création picturale, mettre en volume les productions graphiques... la matière visuelle est aussi pour moi une matière d’exploration pure.
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).