Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (6’20s, 2000).
Ombres vivantes.
Série de 24 photographies d’un passage.
Comme un tourbillon tu me fascines, tu m’entraînes, tu me séduis. Je m’abîme.
Un film de Benoît Labourdette (2’13s, 2021).
Comme si la vie renaissait, au cœur du monde mécanique, l’amour à nouveau visible.
Série de 25 photographies au petit matin.
À l’instant du réveil, la vision n’est pas encore claire, et l’esprit n’est pas encore ancré précisément dans le corps.
Un film de Benoît Labourdette (2’46s, 2014).
Ériger des statues... Pourquoi ? Comment ? Par où regarder ?
Un film de Benoît Labourdette (2’21s, 2019).
Quand une architecture faite de verre révèle son abstraction intrinsèque.
Un film de Benoît Labourdette (5’, muet, 2022).
Il ne se passe rien, et pourtant il se passe tout.
Un film de Benoît Labourdette (3’00s, 2015).
Est-ce que le monde est monde, ou est-ce un espace imaginaire, construit à partir d’une matrice logique ? Questions-réponses au simple croisement d’une rue.
Un film de Benoît Labourdette (4’47s, 2016).
Faire face à son enfant, réel ou imaginaire.
Un film de Benoît Labourdette (2’47s, 2009).
Imaginons un instant que cette chaise est un cinéma...
Série de 80 photographies de la lumière.
Des plis dépliés illuminés dans la nuit inouïe d’un regard qui revit.
Un film collectif (2’01s, 2019).
Ronde de jour en bleu : fabrication collective d’images dans un moment de détente. Voir et se voir autrement.
Film collectif (5’28s, 2020).
Quand des objets parlants nous apprennent que le numérique peut créer du lien humain.
Un film de Benoît Labourdette (2’37s, 2021).
Oser exister, c’est à dire se déclarer à soi-même, même très discrètement, cela change tout.
Série de 45 photographies filées.
Si chaque image file devant notre oeil, alors le monde devient comme un fluide.
Un film de Benoît Labourdette (1’26s, 2023).
J’essaie de regarder plus loin, de ressentir plus en profondeur.
Un film de Benoît Labourdette (2’20s, 2022).
Dans une architecture comme dans un corps vivant, les colonnes structurantes, les réseaux sensibles et cruciaux, ne se donnent pas au premier regard ; ils sont à découvrir par une douce exploration.
Un film de Benoît Labourdette (1’30s, 2021).
Ce qu’on ne verra jamais est en fait très coloré et joyeux.
Revisite des principes de l’imprimerie en quadrichromie, avec des encres et des cendres. Quinze « tableaux numériques ».La reproduction mécanisée de la couleur n’utilise pas les mêmes couleurs primaires qu’en peinture. Il y en a seulement (…)
Série de 313 photographies pour représenter 36 minutes de temps.
Tentative de symbolisation visuelle de l’effet mental d’un réveil qui sonne, et re-sonne, et re-sonne encore le matin… Avec une évolution de l’effet sur les ondes cérébrales, au fur et à mesure que le temps passe.
Un film de Benoît Labourdette (4’05s, 2009).
Imaginons un instant que cette rue est le début du monde...
Série de 35 photographie de l’air.
La matière invisible est rugueuse et colorée.
Un film de Benoît Labourdette (0’39s, muet, 2019).
Déconstruire le sexisme et les préjugés, c’est aussi un choix.
Film collectif (3’19s, 2018).
Le petit peuple des objets d’une cour d’immeuble.
Un film de Benoît Labourdette (2’20s, 2021).
En attendant... qui ? Quelqu’un ou soi-même ?
Un film de Benoît Labourdette (1’42s, 2015).
Du ciel naît un bâtiment, consacré au rêve.
Un film de Benoît Labourdette (2’51s, 2024).
L’arrêt du temps. Et puis la vie qui revient. La douleur est la vie. La douceur est la vie. Réplications. Messages. Double hélice. Panser. ProlongementsLorsqu’on vit des expériences limites ou traumatiques, on peut se retrouver dans un vécu du (…)
Série de 30 photographies éclairées par des mots.
Sur ma proposition, des personnes ont écrit des mots en regard d’images choisies dans les milliers que je propose dans mon site web, celles qui leur ont « sauté aux yeux » et fait naître des mots, qui les éclairent et les creusent, ou les (…)
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).