L’accident, c’est à la fois la perte, les dommages, mais aussi la potentialité d’un changement de direction, d’un enrichissement, malgré ce qui n’est plus. Une fois l’inévitable accepté, l’accident peut alors s’envisager sous le signe de la résilience : il pose dès lors moins l’enjeu de sa cause que de ce que l’on décide de produire après sa survenue. L’accident peut ainsi devenir aussi un moteur de créativité, qu’elle soit artistique, politique, médicale, sociale, technologique...
Photographies, peintures, dessins, montages et textes de Benoît Labourdette (sauf mention contraire).