Sous-marin nucléaire

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (2’14s, 2000).

19 mai 2000. Publié par Benoît Labourdette.

1 min

Des mots sous l’eau.

Cette création vidéo est destinée à être projetée en boucle sur un écran vidéo plat de grande taille (80cm), accroché au mur comme un tableau. Fantasme à partir de l’actualité.

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Sous-marin nucléaire (MPEG4)

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Sous-marin nucléaire

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (2’14s, 2000).

Des mots sous l’eau.

Somebody is here

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’50s, 2000).

Voix synthétique répétitive, qui cherche à faire sentir l’incarnation derrière l’abstraction.

T’es beau

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (4’30s, 2000).

A partir d’une boucle sur un son d’ambiance d’une vidéo amateur, construction d’un objet numérique abstrait, que la bande son anthropomorphise.

Ligne droit vers la fin

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (5’40s, 2000).

Prononcer des mots, c’est tracer sa propre ligne de vie.

La mort à mes côtés

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (6’20s, 2000).

Ombres vivantes.

Couteau dans le ventre

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’, 2000).

S’il y avait une thématique personnelle à ce film, ce serait celle du remplissage, d’une forme, du corps, le changement de paradigme opéré par le numérique sur cette question du plein : tout est (…)

Réseau mondial

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (4’40s, 2000).

C’était le début d’internet. Evocation de la fascination de la navigation.

Ma main

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’15s, 2000).

Mixage de couleurs.

Ligne de vie

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’10s, 2000).

Travelling latéral.

C’était un jeu vidéo

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (3’40s, 2000).

Un travelling électronique.

Mouvement humain

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (2’05s, 2000).

Images animées primitives.

Ca tourne

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’, 2000).

Images animées primitives.

Tableaux vivants

En 2000, j’ai conçu une série de 12 films destinés à être diffusés en boucle dans différents dispositifs précis. L’esthétique « 2D » de ces films purement plastiques et infographique est à mettre en relation avec le fait que les écrans de télévision ont à l’époque perdu leur profondeur.

Les musiques seules des films sont aussi disponibles.