Ca tourne

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’, 2000).

19 mai 2000. Publié par Benoît Labourdette.

1 min

Images animées primitives.

Cette création vidéo, muette, est destinée à être projetée en boucle sur un écran vidéo plat de grande taille (80cm), accroché au mur comme un tableau.

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Ca tourne (MPEG4)

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Ca tourne

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’, 2000).

Images animées primitives.

Ligne droit vers la fin

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (5’40s, 2000).

Prononcer des mots, c’est tracer sa propre ligne de vie.

Ligne de vie

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’10s, 2000).

Travelling latéral.

Somebody is here

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’50s, 2000).

Voix synthétique répétitive, qui cherche à faire sentir l’incarnation derrière l’abstraction.

Mouvement humain

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (2’05s, 2000).

Images animées primitives.

Couteau dans le ventre

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’, 2000).

S’il y avait une thématique personnelle à ce film, ce serait celle du remplissage, d’une forme, du corps, le changement de paradigme opéré par le numérique sur cette question du plein : tout est (…)

C’était un jeu vidéo

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (3’40s, 2000).

Un travelling électronique.

Réseau mondial

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (4’40s, 2000).

C’était le début d’internet. Evocation de la fascination de la navigation.

Ma main

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (1’15s, 2000).

Mixage de couleurs.

Sous-marin nucléaire

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (2’14s, 2000).

Des mots sous l’eau.

La mort à mes côtés

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (6’20s, 2000).

Ombres vivantes.

T’es beau

Vidéo en boucle de Benoît Labourdette (4’30s, 2000).

A partir d’une boucle sur un son d’ambiance d’une vidéo amateur, construction d’un objet numérique abstrait, que la bande son anthropomorphise.

Tableaux vivants

En 2000, j’ai conçu une série de 12 films destinés à être diffusés en boucle dans différents dispositifs précis. L’esthétique « 2D » de ces films purement plastiques et infographique est à mettre en relation avec le fait que les écrans de télévision ont à l’époque perdu leur profondeur.

Les musiques seules des films sont aussi disponibles.