« Mi sveglia la tromba », Alessandro Scarlatti

Ecrit sur le sable

Création vidéo de Benoît Labourdette (4’48s, 2014).

Écrire, lire, parler... mais quoi ? Et en quelle langue ? Je ne sais pas... j’écoute sans chercher à comprendre.

Cimetière Saint-Nazaire

Un film de Benoît Labourdette (2’55s, 2016).

Visiter les morts, c’est écouter leurs chuchotements.

Bâtiment H

Un film de Benoît Labourdette (7’03s, 2012).

La métaphore du parcours de vie d’un être humain à travers un parcours visuel « kaléidoscopique » dans un bâtiment.

La nature recommence (pensée 121)

Un film de Benoît Labourdette (2’22s, 2021).

Penser le mystère de la vie grâce aux mathématiques.

Chez Rachid

Création vidéo de Benoît Labourdette (2’58s, 2014).

La trace infime, laissée sur une surface, sur une « peau », est peut-être la chose la plus importante qui soit.

Pauline attend un instant

Un film de Benoît Labourdette (2’12s, 2018).

On emprunte tous le même escalier. On s’y croise, chaque matin et chaque soir. On fait semblant de rien.

La luciole

Un film de Benoît Labourdette (2’04s, 2019).

Dans la peau d’un insecte fragile, la nuit. D’après un haïku d’Ôshima Ryôta (1716-1784).

L’être vivant

Un film de Benoît Labourdette (5’27s, 2018).

Découvrir dans la matérialité du monde qu’une œuvre d’art n’est pas ce que l’on croit.

Wind

Un film de Benoît Labourdette (2’18s, 2017).

Plongée à l’intérieur du mouvement organique du vent peut-être.

Organes

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’18s, 2014).

J’ai toujours eu très peur de l’intérieur du corps.

Basilique

Un film de Benoît Labourdette (2’44s, 2020).

On a construit des édifices en lien avec le ciel. Qu’a-t-on perdu ?

Un arbre adulte

Un film de Benoît Labourdette (2’19s, 2022).

Si j’avais su, si j’avais pu, et pourtant j’ai toujours été là.

Escale

Un film de Benoît Labourdette (2’39s, 2022)

Un soir, le temps est à l’envers. Texte du filmCe soir làAu retourIl ne sut plusL’avantDeL’après

Perspective accélérée ou ralentie

Un film de Benoît Labourdette (3’57s, 2018).

Où l’on découvre que l’architecture est bien moins réelle que ce que l’on imaginait.

L’éducation rationnelle de l’enfance

Un film de Benoît Labourdette (sur un texte d’Émilie Lamotte, 3’43s, 2019).

Les principes éducatifs les plus efficaces ne sont pas ceux que l’on croit. Découverte de la pensée cinglante et riche d’Émilie Lamotte. Émilie LamotteÉmilie Lamotte était une jeune pédagogue (…)

Administration

Un film de Benoît Labourdette (1’17s, 2020).

La logique implacable et séculaire de l’administration, ciment de nos sociétés.

L’inconscient

Un film de Benoît Labourdette (1’08s, 2022).

Instants fugaces de connexion avec le mystère de notre immense richesse intérieure.

Cry

Un film de Benoît Labourdette (4’40s, 2022).

Déjà, dans le passé, je connaissais la tristesse qui allait venir me submerger plus tard.

Avant l’accident

Un film de Benoît Labourdette (2’28s, 2015).

Quelques secondes avant un accident de voiture mortel.

Ballade nocturne

Un film de Benoît Labourdette (2’36s, 2015).

Se promener en sa nuit intime, immobile, les yeux en mouvement derrière leurs paupières fermées.

et pourtant la vie

Un film de Benoît Labourdette (6’06s, 2023).

Il est incompréhensible que la vie continue. Faire le deuil, ou faire œuvre de sépulture ?

Volcan

Un film de Benoît Labourdette (1’42s, 2015).

Du ciel naît un bâtiment, consacré au rêve.

Printemps

Un film de Benoît Labourdette (3’37s, 2015).

Habiter le bruissement du monde, entre vigueur du végétal, puissance de l’air et organisation, parole et culture humaines, au delà des frontières de tous ordres.

Six visages

Un film de Benoît Labourdette (3’31s, 2018).

Contempler le monde à travers une lentille qui le démultiplie, c’est peut-être se retrouver face à soi-même, ressentir qu’on est une partie du monde, et se reconstruire ainsi.

Taxis

Création vidéo de Benoît Labourdette (2’16s, 2014).

Des lumières dans la nuit.

L’Exemple

Un film de Benoît Labourdette (3’14s, 2018).

L’importance d’une œuvre se situe dans sa forme, car c’est ainsi qu’elle change le regard, donc le monde.

Flore ferroviaire

Un film de Benoît Labourdette (2’13s, 2021).

Comme si la vie renaissait, au cœur du monde mécanique, l’amour à nouveau visible.

Lac Ontario

Un film de Benoît Labourdette (2’42s, 2015).

Un très grand lac canadien, métaphore de la matrice, de la naissance et de la disparition.

Petit vélo

Un film de Benoît Labourdette (1’57s, 2022).

Notre mouvement est représenté par des signes sur le sol. Sommes-nous ces signes, ou sommes-nous bien plus grands ?

Santouri

Un film de Benoît Labourdette (2’00s, 2016).

Comme si l’on vibrait dans les cordes de l’instrument, le Santouri grec, comme si l’on vivait sa musique intérieure.

Extinction d’une étoile

Un film de Benoît Labourdette (1’53s, 2022).

Mystères insondables de l’univers, cycles inexplicables, infini circulaire et impensable. Identification au Tout. Fragmentation.

L’écrire

Un film de Benoît Labourdette (2’24s, 2015).

Exploration par la parole et l’image de la relation entre le mouvement physique et l’écriture.

C’est Notre Point Tenu

Un film de Benoît Labourdette (2’21s, 2019).

Quand une architecture faite de verre révèle son abstraction intrinsèque.

Méditerranée 2

Un film de Benoît Labourdette (1’23s, 2021).

Ruines vivantes de la mémoire de nos origines communes en Occident.

La maison rouge

Un film de Benoît Labourdette (2’17s, 2020).

De retour dans le lieu qui nous ressource.

Les pierres

Un film de Benoît Labourdette (1’42s, 2021).

Une architecture organique venue de la mer.

Colonnes intérieures

Un film de Benoît Labourdette (2’20s, 2022).

Dans une architecture comme dans un corps vivant, les colonnes structurantes, les réseaux sensibles et cruciaux, ne se donnent pas au premier regard ; ils sont à découvrir par une douce exploration.

Les yeux

Un film de Benoît Labourdette (1’54s, 2021).

« Plus vous ferez des efforts pour voir — en fixant fortement et en vous efforçant de ne pas ciller — , plus vous verrez mal là où vous visez. » (William Bates, « Une vue parfaite sans lunettes », (…)

Reconstruction

Un film de Benoît Labourdette (3’24s, 2014).

L’abbaye de Royaumont : y arriver et la reconstruire...

C’est déjà passé

Un film de Benoît Labourdette (1’55s, 2022).

Parfois tout est allé trop vite.

Les fiertés

Un film de Benoît Labourdette (2’46s, 2014).

Ériger des statues... Pourquoi ? Comment ? Par où regarder ?

Troisième oeil

Un film de Benoît Labourdette (1’53s, 2021).

A l’instant où tout bascule notre troisième oeil s’ouvre. Et se découvre à nous comme une échographie du réel.

Justice

Un film de Benoît Labourdette (4’22s, 2018).

Les mystères et paradoxes de la justice, comme autant de traces de mouvements électriques oubliés dans le passé.

Invention d’un château

Un film de Benoît Labourdette (2’32s, 2021).

Et si on jouait à inventer un château en s’inspirant des arbres ?

Être père

Un film de Benoît Labourdette (1’29s, 2019).

Donner la vie, être, donner la main, le découvrir.

Qu’on s’imagine (pensée 473)

Un film de Benoît Labourdette (1’43s, 2021).

Parfois les pièces du puzzle s’assemblent comme en une évidence... on croit toucher le paradis.

La lune dans l’eau

Un film de Benoît Labourdette (2’45s, 2014).

Dialogue entre un haïku de Ueda Chôshû et les images organico-génératives de kaléidoscopes composés avec le réel.

Paysage domestiqué

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’51s, 2014).

L’invention du paysage.

L’appel

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’50s, 2013).

Qu’est-ce qu’une architecture, qu’est-ce qu’un endroit, comment l’envisage-t-on ?

Le port féminin

Un film de Benoît Labourdette (1’43s, 2021).

Méditation genrée.

Branchies

Un film de Benoît Labourdette (2’06s, 2023).

Tentative de connexion avec l’imperceptible essentiel.

Chapelle

Un film de Benoît Labourdette (2’41s, 2021).

Le temps de la contemplation, sans doute nécessaire avant une illumination, qui viendra toujours par surprise.

O sole mio

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’03s, 2014).

Kaléidoscope, lanterne magique, invention du phonographe, nostalgie d’amour...

Pluie

Un film de Benoît Labourdette (2’27s, 2015).

Jeux d’enfants sous la pluie. Le danger guette.

Théorie de l’art moderne

Un film de Benoît Labourdette (3’05s, 2019).

Fonctions et nécessités de l’art, qui n’est pas un luxe, mais la vie et notre nature mêmes. Citations de Paul Klee.

Nouvelles directions

Un film d’Emmanuel Vergès et Benoît Labourdette (1’25s, 2021).

« Et si on se donnait de nouvelles directions en allant chercher de nouveaux points de vue ? »Texte d’Emmanuel Vergès.Réalisation, image, son de Benoît Labourdette.Tourné au Domaine de (…)

La science est-elle immorale ?

Un film de Benoît Labourdette (5’11s, 2014).

Le mythe du progrès scientifique. D’après Albert Bayet.

Visages

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’46s, 2014).

Des souvenirs, dessinés sur les murs, des visages.

Maurits Cornelis

Un film de Benoît Labourdette (2’24s, 2017).

De la pierre naissent des formes, qui s’élèvent vers le ciel, pour finalement se résorber en elles-mêmes.

Structure

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’07s, 2014).

Les structures architecturales, inanimées, supportent les reflets des mouvements de la vie.

Entrée 129

Création vidéo de Benoît Labourdette (2’17s, 2014).

Entrer quelque part. Pas si simple...

L’attrape-rêves

Un film de Benoît Labourdette (1’21s, 2020).

Un feu qui nous brûle, capté par la nature.

Quatre septembre

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’27s, 2014).

Matières et échelles.

Les anges

Un film de Benoît Labourdette (2’58s, 2020).

La magie noire des statues, pour semer la peur en nous... et ainsi nous empêcher de penser, donc contrôler nos âmes et nos actions.

La raison (pensée 267)

Un film de Benoît Labourdette (4’15s, 2020).

Le paradoxe de savoir qu’il y a tant de choses qu’on ne sait pas. EnjeuEst-ce qu’un film peut être un support philosophique ? C’est à dire être un outil pour ouvrir à l’activité de la pensée du (…)

Au motif

Un film de Benoît Labourdette (2’40s, 2021).

Des bonnes raisons d’être émotif.

Bribes

Création vidéo de Benoît Labourdette (2’40s, 2014).

La réalité concrète qui nous entoure est un espace beaucoup plus fragmenté qu’il n’y paraît.

Lettres du vent

Un film de Benoît Labourdette (2’37s, 2021).

Oser exister, c’est à dire se déclarer à soi-même, même très discrètement, cela change tout.

« Mi sveglia la tromba », Alessandro Scarlatti

Un film de Benoît Labourdette (2’50s, 2018). Soprano : Karina Desbordes.

Déplier le monde, ressentir la musique du passé, qui peut ouvrir notre perception de la réalité présente.

Théâtre National Populaire

Un film de Benoît Labourdette (2’39s, 2014).

Personnages surgis de la mémoire collective.

Fondations

Un film de Benoît Labourdette (1’30s, 2021).

Ce qu’on ne verra jamais est en fait très coloré et joyeux.

M.C.A.

Un film de Benoît Labourdette (2’58s, 2015).

Une assemblée d’absents dans un lieu déstructuré en transformation. Réminiscences de voix et de respirations. Éclatement d’éléments architecturaux, tables, chaises, fenêtres, lampes...

La maison baroque

Un film de Benoît Labourdette (3’26s, 2020).

Plis et replis des âmes, des architectures et de la vie elle-même, faite de résonance synesthésique. Gilles Deleuze abondant Leibniz.

Espérance

Un film de Benoît Labourdette (1’50s, 2018).

S’accrocher à des piliers plantés dans l’eau depuis des siècles, pour espérer.

Cage d’escalier

Un film de Benoît Labourdette (3’59s, 2018).

Regarder notre cheminement, étage après étage, n’est pas si nostalgique ; c’est aussi le décrypter pour mieux dessiner la suite du voyage.

Hésitation à la vie

Un film de Benoît Labourdette (1’13s, 2022).

Certains se posent beaucoup plus de questions que d’autres ; et le champ des possibles des actes peut être si différent...

Onze

Création vidéo de Benoît Labourdette (2’39s, 2014).

Tentative de représentation visuelle et ludique de l’appareil vocal.

À l’intérieur de la fleur

Un film de Benoît Labourdette (1’46s, 2019).

Un édifice religieux, qu’est-ce d’autre qu’une métaphore vécue par le visiteur sincère d’être plongé à l’intérieur du florissement ?

Entrée dans l’arbre

Un film de Benoît Labourdette (2’25s, 2022).

L’alignement avec sa propre nature est peut-être beaucoup plus proche qu’on le croit.

Degré

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’36s, 2014).

Des portions d’un bâtiment, qui transforment les corps des humains qui les traversent.

Reval

Un film de Benoît Labourdette (2’59s, 2015).

Rencontre entre des grenouilles et des machines à laver. La poésie dans le quotidien.

Vélocipède

Un film de Benoît Labourdette (2’40s, 2015).

Poétique de la signalisation routière en région montagneuse.

Observer un obscur obstacle oblique

Un film de Benoît Labourdette (7’59s, 2016).

L’engagement politique commence par regarder, et nommer ce que l’on voit.

Pôle des savoirs

Un film de Benoît Labourdette (2’25s, 2015).

Un peu de la connaissance humaine, rassemblée à l’intérieur d’une architecture.

Bébé

Un film de Benoît Labourdette (2’50s, 2015).

Autour de la notion de « bébé », des imaginaires contrastés circulent.

Qu’est-ce que c’est qu’une information ?

Un film de Benoît Labourdette (3’10s, 2016).

Se questionner sur les fondements du langage, sur son sens et ses formes... pour les hommes et pour les machines.Dans le cadre du projet transmédia « La singularité » (www.la-singularite.com).

Arbre de vie

Un film de Benoît Labourdette (1’41s, 2021).

Même coupée, la vie d’un arbre se transmet et se multiplie.

L.I.N.E.

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’43s, 2014).

Une voix émerge de la matière de l’image et du son.

Corps

Un film de Benoît Labourdette (3’51s, 2015).

L’ombre d’un corps aux membres démultipliés, criant sa nostalgie.

Mouvement (pensée 129)

Un film de Benoît Labourdette (1’22s, 2020).

En la nuit, se révèlent parfois à nous des vérités si lucides qu’elles ne survivent pas au retour de la lumière.

Décollage immédiat

Un film de Benoît Labourdette (1’05s, 2020).

Une simple promenade peut inviter à un fulgurant voyage immédiat.

Chemin vers la lumière

Un film de Benoît Labourdette (1’48s, 2022).

Le chemin vers sa fin n’est pas linéaire, il est tramé en plusieurs étapes, en couches non pas successives mais concurrentes, il est inédit et singulier, il est à tout instant surprenant, inattendu.

46

Un film de Benoît Labourdette (2’37s, 2016).

Les nombres structurent la musique ; ainsi, bien attentif, l’on peut entendre le chant singulier du numéro 46 de cette rue...

Fermeture pour problèmes techniques

Un film de Benoît Labourdette (7’05s, 2015).

La faillite d’une salle de cinéma, et les mots qui accompagnent l’indifférence.

Regarder en bas

Un film de Benoît Labourdette (3’20s, 2022).

Oser regarder en face ses plus grandes peurs, quelques instants. Plonger en conscience. Construire.

Tuyau

Un film de Benoît Labourdette (1’52s, 2021).

Un tuyau nous parle de son pouvoir.

Éclosion du diamant

Un film de Benoît Labourdette (2’07s, 2022).

Au travers des plus sombres traversées, peuvent se révéler les plus puissantes forces intérieures.

F

Un film de Benoît Labourdette (2’12s, 2014).

Facettes d’une vision du féminin, fragmentaire.

Disparition

Un film de Benoît Labourdette (3’11s, 2016).

Fantasme de la disparition du religieux.

Le turbulent et le laminaire

Un film de Benoît Labourdette (1’46s, 2021).

Une mathématique de la nature.

Attente

Un film de Benoît Labourdette (2’20s, 2021).

En attendant... qui ? Quelqu’un ou soi-même ?

Plan

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’47s, 2014).

L’être humain cartographie, inscrit, marque, avant de passer à l’action.

Sortir

Un film de Benoît Labourdette (1’50s, 2021).

Servitude involontaire.

Croisement

Un film de Benoît Labourdette (3’00s, 2015).

Est-ce que le monde est monde, ou est-ce un espace imaginaire, construit à partir d’une matrice logique ? Questions-réponses au simple croisement d’une rue.

Sports

Création vidéo de Benoît Labourdette, 3’12s, 2014.

A la rencontre du petit peuple dessiné sur les pavés.

Penser l’image du kaléidoscope animé

Les critères de la compositionLorsqu’on fait le cadrage d’une image avec une caméra, on emploie, le plus souvent, les critères classiques de la composition d’image, hérités de la tradition de (…)

Disloqués

Un film de Benoît Labourdette (2’08s, 2019).

Descente collective d’escalier. Tentative d’épuisement d’un lieu romain.

M.C.E.

Un film de Benoît Labourdette (1’02s, 2019).

L’utopie de chacun est peut-être un dessin centré en confiance.

Démontage du campement de réfugiés de la gare d’Austerlitz

Un film de Benoît Labourdette (4’39s, 2015).

Reliefs et traces d’une présence humaine. Inscrire la mémoire des lieux.

Amphi-théâtre

Un film de Benoît Labourdette (2’55s, 2018).

De l’effet des rapports de pouvoir sur le cerveau.

Pensée 381

Un film de Benoît Labourdette (2’47s, 2016).

La réalité est-elle plus réelle que le rêve, ou les deux sont-ils égaux ? D’après les « Pensées » de Blaise Pascal (17e Siècle).

La colline

Création vidéo de Benoît Labourdette (3’20s, 2014).

La place du corps humain dans l’architecture est une éternelle question pour moi.

Le petit train

Un film de Benoît Labourdette (2’, 2022).

Mouvement de découverte de sa propre histoire de vie devant le paysage qui défile à la fenêtre.